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Evaluation des types d'organisation et de financement
Place de la formation dans le fonctionnement général de notre association
Récapitulatif des formations réalisées
Caractéristiques générales
> La formation pour les professionnel-le-s de l'éducation est une activité secondaire de notre association. Nous avons choisi de nous investir en priorité dans la conception et l'animation d'activités éducatives pour les enfants et les jeunes, sous forme essentiellement d'ateliers d'EMA et d'actions socioculturelles articulées autour de la création audiovisuelle. Un bilan général de nos activités éducatives 1999-2019 est en cours de rédaction.
> Nos formations sont spécifiques à la pratique éducative de la vidéo et à l'éducation aux médias audiovisuels, avec deux priorités :
- l'initiation aux techniques de base de la réalisation audiovisuelle ;
- la conception et l'animation d'activités créatives ludiques et motivantes, souvent courtes et modulables. Ces activités sont d'abord destinées au temps libre des enfants et des jeunes, mais elles peuvent être également proposées en temps scolaire.
> Elles s'inscrivent dans le cadre de la formation continue, sur des sessions de courte durée (de 1 à 5 journées).
> Elles suggèrent d'envisager les projets de réalisation audiovisuelle collectifs ni comme une finalité à tous les apprentissages proposés, ni comme un objectif incontournable. Elles conseillent de plutôt privilégier des jeux créatifs, moins complexes, moins contraignants à animer et à la portée de toutes les personnes travaillant dans l'éducation.
> Toutes les activités éducatives conseillées dans nos formations s'adressent surtout aux enfants de plus de 7 ans et aux ados, mais peuvent aussi intéresser les adultes en général. Dans tous les cas, elles nécessitent de réunir plusieurs conditions : compétences pédagogiques et techniques, matériel et effectifs adaptés.
> Nos formations ont été destinées très essentiellement aux personnes travaillant dans l'éducation (animation enfance/jeunesse vacataire ou à plein temps, animation socioculturelle, Education Nationale, éducation spécialisée, employé(e)s de médiathèque, etc.). La plupart ont été réalisées à Romorantin et à Blois.
> Elles sont organisées de deux façons :
- Soit des prestations à la demande de collectivités locales, d'organismes de formation ou autres associations. Elles peuvent être intégrées à des formations qualifiantes (BAFA, BPJEPS et autres).
- Soit des formations organisées à notre initiative. Elles ont été très occasionnelles et se sont tenues pour l'essentiel à notre siège de Romorantin pour répondre en priorité à d'éventuels besoins locaux. Elles ont été décidées lors de l'élaboration de notre projet annuel d'activités subventionnées. Les dates ont été ensuite choisies selon d'éventuelles demandes individuelles de candidat-e-s (notamment celles et ceux s'apprêtant à réaliser des activités d'EMA).
> Notre capacité à organiser des formations repose surtout sur notre expérience dans l'animation d'ateliers d'EMA auprès des enfants et des jeunes. Elle repose également sur la notoriété progressive de notre association auprès d'une importante partie de la communauté éducative locale, nos réseaux de partenariats pédagogiques et financiers et sur le cursus de notre salarié (BAFA, BAFD, BEATEP enfance/jeunesse option développement local).
> Dans les premières années d'activité, donc à partir de 1999, nous sommes surtout intervenus dans le cadre du BAFA, en particulier pour le perfectionnement option audiovisuelle, sous forme de prestations, pour différents organismes d'éducation populaire.
> Nos tarifs ont été et resteront incitatifs et adaptés au plus grand nombre de structures, en respect du principe d'éducation populaire. Pour les formations organisées à notre initiative, nous obtenons un soutien de nos partenaires habituels permettant un tarif d'inscription individuelle particulièrement modique : 12 € par session si réglée par l'inscrit(e), 30 € si réglée par son employeur. Nos tarifs ne représentent donc pas un frein à la participation. Sur le plan budgétaire, plusieurs formations, surtout dans le cadre des BAFA ont été réalisées à perte pour notre association. L'augmentation progressif des tarifs et des subventionnements nous permettent depuis 2005 d'obtenir un meilleur équilibre budgétaire, sans jamais toutefois dégager de bénéfices financiers. Ils seraient pourtant particulièrement utiles à la pérennisation de notre association et de son emploi. A partir de 2022, pour obtenir un minimum de bénéfices financiers, nous augmenterons encore un peu nos tarifs et montants de subventions sollicités.
> Notre association n'a pas sollicité d'agrément "organisme de formation". Cet agrément n'est pas obligatoire pour des formations suivies hors du Congé Personnel de Formation (anciennement DIF) ;
> A quelques rares exceptions, l'essentiel des formations organisées à notre initiative se sont déroulées sur une seule journée. En conséquence et de par leur tarif particulièrement modique, le recours au Congé Personnel de Formation n'était pas nécessaire pour les participant(e)s et nous a permis d'éviter des tâches administratives et de secrétariat supplémentaires.
> Autres caractéristique des formations réalisées (hors BAFA) :
- elles se sont déroulées sur 1 à 5 jours, consécutifs ou espacés dans le temps ;
- elles ont été plutôt adaptées pour des groupes de 6 personnes minimum et de 12 maximum, (l'effectif idéal étant 9), mais les taux de participation ont été très variables (souvent insuffisants avant 2016) ;
- elles ne sont pas certifiantes ou qualifiantes (ne sont pas dispensées dans le cadre d'une formation diplômante ou d'un brevet) ;
- elles ont été souvent expérimentales, c'est-à-dire dans un souci de recherche et d'amélioration pédagogiques, avec un temps de préparation important.
Enjeux et objectifs généraux
> Permettre l'acquisition de compétences techniques, pédagogiques et théoriques de base pour l'organisation et l'animation d'activités d'EMA auprès des enfants et des jeunes, en temps scolaire et en temps libre.
> Permettre de comprendre et d'assimiler les enjeux de l'EMA. Bien saisir leur importance actuelle, l'EMA ne pouvant pas être considérée comme une discipline optionnelle parmi d'autres. Elle est devenue une priorité pour répondre aux évolutions de notre mode de vie et de notre société où les médias audiovisuels, les images, les écrans, ont pris une place de plus en plus importante. Les personnes travaillant dans l'éducation et surtout leurs employeurs doivent saisir les conséquences socioculturelles de la révolution numérique en cours. Toutefois, l'éducation aux médias en général, dont les besoins sont plus anciens, aurait déjà dû beaucoup plus accompagner l'émergence des médias de masse : presse, radio et télévision. Un retard considérable a été pris depuis plusieurs décennies.
notre projet éducatif : https://www.adeifvideo.fr/drupal-8/node/29
selon nous, les bénéfices du développement de l'EMA sur un même territoire : https://www.adeifvideo.fr/drupal-8/node/272
> Permettre le développement d'activités d'EMA régulières, motivantes, adaptées aux enfants et aux jeunes et à la portée des personnes travaillant dans l'éducation et de leur établissement : effectifs d'encadrement, effectifs des publics, matériel, horaires et durées possibles des activités, conditions de travail, etc.
> Encourager la spécialisation en EMA par différents moyens complémentaires : suivre de multiples formations, se former de façon autodidacte, se former et s'entraîner entre collègues (par exemple pour la maîtrise de techniques de réalisation ou d'un logiciel de montage), se former en multipliant les expériences pédagogiques avec ses publics.
> Les évolutions technologiques apportées par le web, le numérique et l'informatique libre offrent de nombreuses opportunités pédagogiques, notamment les possibilités de création de jeux de réalisation et de montage. Mais à notre connaissance, la communauté éducative ne saisit pas suffisamment ces opportunités, surtout pour des activités en temps libre (accueils éducatifs). La présentation de jeux éducatifs et l'encouragement à saisir les opportunités offertes par les nouvelles technologies font partis des principaux axes de notre démarche de formation.
Evaluation des types d'organisation et de financement
(1) Il peut s'agir d'une commande d'un organisme de formation en partenariat avec une collectivité locale, comme la formation commandée par Ciclic en décembre 2019 et qui s'est tenue à la Fabrique du service jeunesse de Blois
(2) Nous utilisons habituellement une salle prêtée à titre gracieux par la Ville de Romorantin dans le cadre d'un partenariat. Un stage de 5 jours consécutifs s'est tenu au centre d'hébergement Jean Monnet de Romorantin en 2004. La plupart des stages BAFA se sont tenus également dans cet établissement.
(3) L'estimation du temps de travail d'organisation comprend : les demandes de subventions, la communication, la réservation de salle et la gestion des inscriptions. Les déplacements ne sont pas compris (calculés et facturés à part).
(4) L'estimation du temps de préparation pédagogique comprend une proratisation du temps de travail effectué toute l'année au bénéfice de nos formations et le travail de préparation spécifique à chaque session. Une même session de formation peut comporter plusieurs jours de formation (généralement 3 maximum).
(5) Notre priorité a été de maintenir un rapport recette / coût à l'équilibre, tout en pratiquant des tarifs très attractifs et en sollicitant des aides financières adaptées. Mais à l'avenir, notre association doit réussir à dégager des bénéfices financiers pour réussir à pérenniser son fonctionnement, ses actions éducatives et ses formations et acquérir davantage d'autonomie financière.
(6) Règle de calcul du coût moyen de la formation (frais de déplacement non compris) : 18 heures de préparation + 7 heures d'animation = 25 h x 15 € (coût horaire du travail salarié + charges) = 375 € + 100 € de mise à disposition de matériel + 75 € de coût de fonctionnement de l'association (proratisation) = 550 €
Cette évaluation des types d'organisation et de financement de nos formations montre qu'ADEIFvidéo a plutôt intérêt à favoriser les prestations répondant à une commande d'une collectivité locale ou d'un organisme d'éducation populaire (par exemple Respire, Les Francas ou l'UFCV). Ces prestations seront à l'avenir également proposées à des services de l'Etat, notamment au sein de l'Education Nationale. C'est le type de formation nécessitant le moins de travail d'organisation et donc le plus adapté à un accroissement du nombre de sessions. Il est aussi celui assurant le mieux un nombre de participant-e-s suffisant (8 participant-e-s en moyenne), favorisant ainsi les activités créatives en équipes, un des aspects, pour nous, les plus importants et motivants.
Les deux autres types d'organisation sont intéressants surtout pour leur plus grande liberté d'expérimentation des méthodes de formation. Il sera donc utile de continuer de les programmer, mais sans en accroître le nombre annuel (2 à 3 par an maximum), en particulier les formations entièrement organisées par notre association (type 1), dont l'inscription individuelle garantie un meilleur niveau de motivation à se former.
Place de la formation dans le fonctionnement général de notre association
> La formation pour les professionnels de l'éducation à une activité secondaire de notre association. Nous avons choisi de nous investir en priorité dans la création et l'animation d'activités éducatives pour les enfants et les jeunes, sous forme essentiellement d'ateliers d'EMA et des actions socioculturelles articulées autour de la création audiovisuelle. La priorité était également donnée à la réunion des moyens permettant toutes nos activités éducatives :
- rechercher et générer des financements (partenariats financiers et prestations audiovisuelles pour le développement local) surtout pour la création et la pérennisation de notre poste salarié, sans lequel nos activités ne pourraient se concrétiser ;
- concevoir des méthodes, outils et dispositifs pédagogiques, concevoir des projets d'activité ;
- faire connaitre notre association et nos actions par différents moyens de communication ;
- gérer les aspects administratifs, matériels et financiers de l'association ;
- animer et garantir la vie et les prises de décisions démocratiques de notre conseil d'administration.
> Une forte expérience de terrain et la maîtrise d'une pédagogie efficace s'avéraient pour nous un préalable logique avant intervenir de façon beaucoup plus régulière dans le cadre de la formation professionnelle initiale et continue.
> Dès sa création en 1999, ADEIFvidéo a été sollicitée par des organismes de formation BAFA, en particulier l'UFCV du Centre Val de Loire, pour intervenir sur des stages de perfectionnement BAFA option audiovisuelle. De 1999 à 2005, nous avons ainsi animé des ateliers sur 12 de ces stages. Ce fut pour nous d'excellentes occasions de commencer à expérimenter des méthodes de formation et de développer nos compétences techniques.
> A l'exception de ces stages, l'offre et la demande de formation aux activités audiovisuelles éducatives était déjà alors rare en région Centre Val de Loire comme au niveau national et c'est encore le cas aujourd'hui.
> Au-delà de nos interventions en BAFA, le volume de nos activités de formation est donc resté marginal dans notre fonctionnement. Les prestations de formation ont été d'une durée souvent très courtes (en moyenne 2 jours). Les formations à notre initiative ont été pour l'essentiel d'une durée équivalente, hormis un stage 5 jours consécutifs.
> En juin 2004, notre association a en effet démontré sa capacité à proposer une formation d'EMA de 5 jours consécutifs. Ce stage, réalisé au centre d'hébergement Jean Monnet de Romorantin, a été plutôt réussi, malgré des méthodes de formation, en progression, mais pas encore à la hauteur des enjeux.
Il a accueilli 4 participantes et un participant. Ne pouvant être proposé et financé dans le cadre des droits individuels de formation (nous n'avions pas sollicité d'agrément "organisme de formation"), il a été réalisé à perte sur le plan financier, même si nous avons bénéficié de quelques subventions de nos partenaires habituels.
Le tarif record d'inscription s'élevait ainsi à 65 euros, plus l'adhésion, ou 100 euros pour la pension complète, plus l'adhésion. Ce tarif se justifiait alors par le caractère inédit, très expérimental et exceptionnel de cette formation. La formation a été considérée satisfaisante pour ces stagiaires.
> A deux reprises, nous avons tenté d'organiser un second stage de 5 jours en 2005 à Romorantin, sans succès, le nombre d'inscrits étant insuffisant. Avec du recul, pour réussir à réunir un nombre suffisant de participants, ces stages auraient dû être proposés sur Blois, voire Tours ou Orléans et surtout en mobilisant des moyens de communication beaucoup plus importants et à une échelle au minimum régionale. Cependant, un format de stage de 5 jours relève davantage des capacités d'un organisme de formation agréé permettant aux stagiaires une participation et un financement dans le cadre de leurs congés de formation.
> Par ailleurs, même si nous avons réussi à maintenir le stage de juin 2004 avec 5 stagiaires, donc un effectif très réduit, ce stage et les deux similaires annulés en 2005 avaient été tentés à une période où notre notoriété au sein de la communauté éducative du département et au delà était encore beaucoup trop faible.
> Depuis au moins 2010, nos propositions de contenus de formation et notre pédagogie permettraient, potentiellement, d'organiser un stage ou un cycle comprenant jusqu'à 7 journées maximum.
> Contacté début 2016 par le service jeunesse de Blois pour envisager des activités développant le sens critique des jeunes sur les médias, nous saisissons cette occasion pour proposer quelques mois plus tard une formation pour le personnel d'animation du service. Commence alors un partenariat important et régulier, nous permettant de proposer les prochaines formations sur Blois, dans la structure municipale La Fabrique, donc dans un lieu plus central dans le Loir-et-Cher.
> Nos compétences pour l'animation d'activités éducatives, nos aptitudes confirmées à former des professionnels de l'éducation et un meilleur financement de notre association (obtention d'un FONJEP à partir de 2016) nous permettent de prendre plus d'initiatives pour développer nos formations et plus généralement, pour favoriser le développement des pratiques d'EMA sur notre département et ses territoires limitrophes.
> La communication de nos propositions de formation (conception d'affiches et flyers, impression, affranchissement, distribution, envoi de mails...) a représenté un travail non négligeable, mais toujours très insuffisant. Pour le développement de nos formations, cette communication réclamera des moyens plus importants : plus de temps à y consacrer ou un travail de conception sous-traité, un nombre beaucoup plus important d'affiches et flyers, plus de démarches auprès des médias locaux, plus de diffusion sur le web, des envois par courrier, donc un budget communication plus élevé.
Récapitulatif des formations réalisées
> Pour plus de détails sur les participantes et participants de nos formation, voire la rubrique "Caractéristiques des destinataires par types de formation" ;
Les formations organisées à notre initiative avec le soutien de nos partenaires financiers
> Depuis 2004, nous avons tenté d'organiser en moyenne 2 formations par an. Une dizaine ont dû être annulées faute d'effectifs suffisants ou parfois faute de subvention, provoquant 3 années blanches, en 2005, 2013 et 2014 (pas de formation programmée en 2006). Les subventions accordées pour certaines d'entre elles ont été utilisées sur des actions éducatives.
> 2 journées de formation que nous souhaitions réaliser durant le 4ème trimestre 2019, n'ont pas pu finalement être proposées, faute de disponibilité. Programmées au 1er trimestre 2020, elles ont dû à nouveau être repoussées suite à la pandémie. Nous espérons pouvoir les programmer en 2021.
> Au total 25 journées, réparties sur 19 formations différentes, ont été réalisées. Elles ont accueilli un total 102 participant-e-s.
> 14 formations ont été réalisées à notre initiative de 1999 à 2012. 10 se sont tenues à Romorantin, 2 à la DDCSPP du Loir-et-Cher (Blois) et 2 à Noyers-sur-Cher, généralement des samedis, pour un effectif moyen de 5 personnes (de 2 à 8). Ces effectifs sont trop bas. En revanche, ils ont favorisé une formation répondant davantage aux attentes individuelles des participant-e-s et ont facilité les échanges et les conseils sur leurs éventuels projets.
> Les 5 formations réalisées de 2015 à 2018, se sont toutes tenues à Blois, en partenariat avec le service jeunesse de la ville, en semaine, pour un effectif moyen de 7,5 personnes (de 3 à 10) et donc beaucoup mieux adapté aux activités créatives en équipes. Ouvertes à toute personne travaillant dans l'éducation, elles ont accueilli très essentiellement des personnels d'animation du service jeunesse de Blois.
> (*) Les durées de formation sont données en équivalence de nombre de journées.
> Les effectifs des BAFA sont une moyenne approximative.
Les prestations de formation pour des structures éducatives et autres
> 37 formations différentes réalisées et un total de 78 journées ;
> Deux périodes se distinguent : la première de 1999 à mi 2005 durant laquelle nos activités de formation sont essentiellement des interventions en stage BAFA option audiovisuelle. La seconde période, de mi 2005 à 2019 est caractérisée par la fin de nos interventions en BAFA option audiovisuelle (non viables économiquement) et par des formations auprès d'organisateurs plus divers. Les deux tableaux ne différencient pas les participant-e-s par professions. Il s'agit à environ 90% de vacataires et professionnels de l'animation.
> Elles ont répondu à une commande soit d'un organisme de formation (24 formations), soit d'une collectivité locale (6 formations), soit d'autres de diverses associations (6 formations) soit d'un établissement scolaire (1 formation), soit de la DDJS (1 formation) ;
> 31 ont eu lieu dans différentes communes du Loir-et-Cher, 5 dans le Loiret et 1 en Indre-et-Loire.
> Les stages BAFA
- intervention sur 15 stages entre 1999 et 2005, puis 1 stage en 2018 ;
- la plupart ont été réalisés avec l'organisme UFCV, le seul sur la région Centre de Val de Loire a avoir proposé pendant plusieurs années consécutives un stage de perfectionnement audiovisuel ;
- une moyenne de 18 stagiaires ont été accueillis par session ;
- que ce soit avec ADEIFvidéo ou d'autres intervenants spécialisés, le maintien de cette option a toujours été fragile de par son nombre d'inscrits souvent plus faible que d'autres stages aux options plus recherchées (jeux, plein air, sport...) ;
- le BAFA est une formation destinée d'abord à de futur-e-s vacataires de l'animation, dont certain-e-s, mais une minorité, souhaite travailler dans l'éducation. Les stagiaires accueilli-e-s étaient pour la très grande majorité domicilié sur la région Centre Val de Loire. Difficile de savoir si cette formation a été globalement profitable à des pratiques audiovisuelles éducatives, ce qui impliquerait un suivi des stagiaires sur plusieurs années ;
- la nature du public, généralement très jeune et peu expérimentée en animation et éducation, ne permettait pas assez de confronter nos propositions d'activités à des réalités de terrain, par exemple, quant à la capacité ou la volonté des employeurs d'investir dans du matériel audiovisuel adapté (pour les structures pas encore ou mal équipées) ;
- nos interventions en BAFA ont été excellentes pour augmenter nos propres compétences de formation, mais les tarifs que nous avions acceptés de négocier rendaient nos prestations économiquement déficitaires et non viables. De ce fait, nous avons préféré arrêter d'intervenir sur les BAFA dans le courant de l'année 2005 ;
- depuis 2005 de rares stages BAFA perfectionnement audiovisuel semblent être proposés au niveau national chaque année par différents organismes, mais à notre connaissance, aucun sur la région Centre Val de Loire, à l'exception d'un stage "pratiques numériques, activités de l'image et du son" organisé par les Francas (1) et sur lequel nous sommes intervenus une journée. Cette remarque mériterait toutefois une vérification.
> Les formations hors BAFA : 21 sessions différentes, représentant 25,5 journées, pour un total de 174 participant-e-s, soit un effectif moyen de 7 personnes. Cet effectif est un peu mieux adapté aux activités créatives en équipes que celui des formations organisées à notre initiative (effectif moyen de 5 participant-e-s).
Tableau récapitulatif de la 1ère période (1999 - 2005), durant laquelle nos prestations de formation ont réalisées très essentiellement dans le cadre de stages BAFA
> (*) Les durées de formation sont données en équivalence de nombre de journées.
Tableau récapitulatif de la 2ème période (2005 - 2019)
> (*) Les durées de formation sont données en équivalence de nombre de journées.
Total des prestations de formation et totaux par types d'organisateurs